4 mars 2010
sieste froide
Détumescence du ventre de la mer, incisure de terre qui avance ses cheveux pour cerner l'œil de glace. Glace sur les eaux.
Près du chemin, on croit voir un Thing s'organiser, mais ce n'est qu'un carrousel d'objectifs venus fixer l'étendue déjà immobile.
Marquer un temps d'arrêt entre deux aires d'habitudes.
Regarder cette ligne au bout du ciel falsifié et mettre une copie de l'instant dans la musette des images.
L'identité édenté ouvre son café plein de genièvre, c'est la procédure minimale pour croire un peu au décor et s'allonger dans les plumages en regardant l'hiver passer.
BALDER
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